Un jour de grand vent dans les côteaux, j'ai tenté de faire voler la Noname et Eliott (13 ans) s'est initié à la prise de vue et au montage numérique. Il s'en est plutôt bien tiré car cette aile n'est pas facile à suivre.
Je vous présente donc le fruit de son travail.
Il se pourrait qu'il devienne le cameraman attitré de Camisole Airlines ;-)
mercredi 16 mai 2007
mercredi 2 mai 2007
Vidéo embarquée : le vol par procuration
Eh bien oui, il arrive un moment où voir évoluer nos appareils ne nous suffit plus. On finit par se demander comment ça ferait si on y était là-haut, à titiller les rapaces (bien sûr, j'émet une petite réserve quant au choix du pilote avec qui je monterai, je ne suis pas suicidaire. Comprenne qui pourra ;-)).
Toujours est-il qu'il nous est très difficile de chevaucher nos ailes volantes pour visiter les nuées mais que la technologie fait des progrès jour après jour.
Nous avons aujourd'hui, à notre disposition, différents moyens de visualiser ce que serait la vision du pilote et nous donner une idée précise de l'utlisation que l'on peut faire du "sac en papier rangé dans le vide-poche en face de votre siège". Prenez de la Nautamine, vous allez en avoir besoin.
Premier essai : la caméra sans fil
Très répandue sur Ebay, elle ne coûte pas très cher (moins de 30 euros), est très légère et permet d'avoir un retour video en temps réel. Si vous êtes un bon bricoleur comme M. Naudin (http://jnaudin.free.fr/uav/hid/index.htm), vous pouvez toujours vous fabriquer une paire de lunettes et piloter votre appareil comme si vous étiez à bord... Bonne chance !
Je remercie tout de même Hervé de nous avoir prêté cette caméra, même si je m'apprête à la dénigrer maintenant, car c'est lui qui nous a mis le pied à l'étrier.
L'inconvénient de cette caméra (si vous en achetez une de qualité moyenne comme la nôtre), c'est la qualité de la réception. Des parasites, liés au moteur entre autres, nuisent à la qualité de la réception et il neige au mois de juin ! De plus, la réactivité du capteur lors du passage d'une zone lumineuse à une zone sombre n'est pas très bonne et après un passage face au soleil, le capteur met un peu de temps avant d'afficher une image potable.
L'autre inconvénient c'est qu'il faut sortir l'artillerie lourde : Batterie, pile 9V, Ordinateur, Périphérique de capture vidéo... et oui, c'est pas si simple que ça en a l'air.
Sur la vidéo ci-dessous, vous pouvez voir nos premiers essais sur la Toro 300 avec la caméra inclinée à 45°, dirigée vers l'avant ou encore perpendiculaire au sol. Vous verrez aussi notre première poursuite en vol d'une autre Toro 300 !Mais surtout vous verrez Yay à plusieurs reprises, sautant et gambadant tel le jeune cabri dans son pré. A l'époque, il avait de la détente...
Deuxième essai : La caméra embarquée Logitech
Alors là, ça n'est pas le même gabarit : 160 grammes et environ 15 cm de hauteur !
Lorsque je l'ai installée sur la Zaile 140, Je me suis demandé si elle allait pour décoller. Et elle l'a fait ! Ce fut laborieux mais le résultat était plutôt sympa.
L'inconvénient principal reste bien sûr le poids mais la réactivité de la cellule, comme pour la caméra précédente, est très faible et les passages devant le soleil gâchent un peu l'ensemble.
Sur la vidéo ci-dessous, pas de fioritures, la caméra est installée un fois pour toutes, j'essaye laborieusement de prendre de l'altitude et de faire un panoramique de Cadillac au coucher du soleil.
Troisième et dernier essai : la FlycamOne
Fred a craqué et l'a commandée sur Ebay : que du bonheur ! Même si le prix est encore un peu élevé (50 euros environ, mais ça va certainement baissé), tous les inconvénients des autres modèles ont été solutionnés : 24 grammes (32 avec le support), lecteur de carte SD et prise USB. Sans parler de la rapidité d'adaptation de la cellule à la lumière ambiante !
Celle-ci a été conçue pour être embarquée, et ça marche du feu de Dieu !
Bien sûr, notre pilotage n'est pas encore au point et le vol en escadrille n'a d'escadrille que le nom. Nous ne désespérons pas d'améliorer notre technique et en attendant, voici une première vidéo de vol en patrouille (quelle blague !):
Au vu des premières images et surtout de la faible surcharge de l'aile, plusieurs idées de challenges, que nous gardions dans nos cartons, ont commencé à prendre corps comme vous pouvez le voir sur la vidéo suivante.
Je ne vous raconte pas la pression que ça met de voler au-dessus de l'eau quand on n'a pas de Zodiac pour aller chercher son aile lors d'un éventuel amerissage !
D'autres vidéos devraient suivre...
Toujours est-il qu'il nous est très difficile de chevaucher nos ailes volantes pour visiter les nuées mais que la technologie fait des progrès jour après jour.
Nous avons aujourd'hui, à notre disposition, différents moyens de visualiser ce que serait la vision du pilote et nous donner une idée précise de l'utlisation que l'on peut faire du "sac en papier rangé dans le vide-poche en face de votre siège". Prenez de la Nautamine, vous allez en avoir besoin.
Premier essai : la caméra sans fil
Très répandue sur Ebay, elle ne coûte pas très cher (moins de 30 euros), est très légère et permet d'avoir un retour video en temps réel. Si vous êtes un bon bricoleur comme M. Naudin (http://jnaudin.free.fr/uav/hid/index.htm), vous pouvez toujours vous fabriquer une paire de lunettes et piloter votre appareil comme si vous étiez à bord... Bonne chance !
Je remercie tout de même Hervé de nous avoir prêté cette caméra, même si je m'apprête à la dénigrer maintenant, car c'est lui qui nous a mis le pied à l'étrier.
L'inconvénient de cette caméra (si vous en achetez une de qualité moyenne comme la nôtre), c'est la qualité de la réception. Des parasites, liés au moteur entre autres, nuisent à la qualité de la réception et il neige au mois de juin ! De plus, la réactivité du capteur lors du passage d'une zone lumineuse à une zone sombre n'est pas très bonne et après un passage face au soleil, le capteur met un peu de temps avant d'afficher une image potable.
L'autre inconvénient c'est qu'il faut sortir l'artillerie lourde : Batterie, pile 9V, Ordinateur, Périphérique de capture vidéo... et oui, c'est pas si simple que ça en a l'air.
Sur la vidéo ci-dessous, vous pouvez voir nos premiers essais sur la Toro 300 avec la caméra inclinée à 45°, dirigée vers l'avant ou encore perpendiculaire au sol. Vous verrez aussi notre première poursuite en vol d'une autre Toro 300 !Mais surtout vous verrez Yay à plusieurs reprises, sautant et gambadant tel le jeune cabri dans son pré. A l'époque, il avait de la détente...
Deuxième essai : La caméra embarquée Logitech
Alors là, ça n'est pas le même gabarit : 160 grammes et environ 15 cm de hauteur !
Lorsque je l'ai installée sur la Zaile 140, Je me suis demandé si elle allait pour décoller. Et elle l'a fait ! Ce fut laborieux mais le résultat était plutôt sympa.
L'inconvénient principal reste bien sûr le poids mais la réactivité de la cellule, comme pour la caméra précédente, est très faible et les passages devant le soleil gâchent un peu l'ensemble.
Sur la vidéo ci-dessous, pas de fioritures, la caméra est installée un fois pour toutes, j'essaye laborieusement de prendre de l'altitude et de faire un panoramique de Cadillac au coucher du soleil.
Troisième et dernier essai : la FlycamOne
Fred a craqué et l'a commandée sur Ebay : que du bonheur ! Même si le prix est encore un peu élevé (50 euros environ, mais ça va certainement baissé), tous les inconvénients des autres modèles ont été solutionnés : 24 grammes (32 avec le support), lecteur de carte SD et prise USB. Sans parler de la rapidité d'adaptation de la cellule à la lumière ambiante !
Celle-ci a été conçue pour être embarquée, et ça marche du feu de Dieu !
Bien sûr, notre pilotage n'est pas encore au point et le vol en escadrille n'a d'escadrille que le nom. Nous ne désespérons pas d'améliorer notre technique et en attendant, voici une première vidéo de vol en patrouille (quelle blague !):
Au vu des premières images et surtout de la faible surcharge de l'aile, plusieurs idées de challenges, que nous gardions dans nos cartons, ont commencé à prendre corps comme vous pouvez le voir sur la vidéo suivante.
Je ne vous raconte pas la pression que ça met de voler au-dessus de l'eau quand on n'a pas de Zodiac pour aller chercher son aile lors d'un éventuel amerissage !
D'autres vidéos devraient suivre...
mercredi 21 mars 2007
La plus tendue : la MUGI
En trainant sur le web, l'air de rien, j'ai repéré un site dont la qualité ne m'a pas laissé indifférent : http://www.mugi.co.uk/. Des plans aux conseils prodigués, tout est clair et limpide !
La Mugi avec son faux air de chasseur furtif a très rapidement titillé mon insatiable besoin de fabriquer un truc qui vole. Dans un premier temps, je suis un peu refroidi par le prix que coûtent les plaques de polyproylène alvéolaire (PPA). Je laisse donc en suspens ce projet car même en France, ce matériau est difficile à trouver en 2mm d'épaisseur.
Les mois passent et c'est en rendant visite à mon père, qui retape une maison, que je suis tombé sur un trésor! Imaginez que son menuisier lui a fabriqué et posé un superbe escalier en bois d'arbre et, pour protéger les marches en attendant la fin des travaux, les a recouvertes de PPA en feuilles de 80x40cm en 2mm d'épaisseur !!! Me voici donc en possession de 4 feuilles et de quelques chutes, de quoi fabriquer au moins 2 Mugi.
Je jette un oeil au matériel nécessaire pour en monter une et je compare à la liste de ce que je possède. Bonne nouvelle, si je démonte la Toro et la Zaile 92, il ne me manque qu'un récepteur et un pack d'accu LIPO... Bon, on verra à Noël.
Noël arrive et, après moultes négociations avec ma chère et tendre (qui connait très bien le Père Noël), je trouve dans mes petits souliers les bricoles qui me manquent.
Le début de la fabrication coïncide avec une leçon de mathématiques que ma petite dernière doit réviser : tracer des segments avec une règle !
- "Viens me voir, ma petite Louna, on va faire de la géométrie appliquée !"
- "C'est quoi ?"
- "Et bien tu vas m'aider à fabriquer un avion..."
- "Ouais, trop bien !"
- "... et en même temps tu vas réviser ta leçon de mathématiques !"
- "..."
- "Quoi, ça ne te fais pas plaisir de bricoler avec Papa ?"
- "Ca ne serait pas un moyen détourné de fabriquer encore une aile volante tout en faisant croire à Maman que c'est un exercice à vocation pédagogique ? La démarche me paraît un peu grossière et j'ai peur que Maman s'en rende compte. Cependant, il se trouve que je n'ai rien à faire cette après-midi et que je t'aime bien alors, si tu veux, je vais plaider ta cause en ayant l'air enthousiaste tout en bricolant."
Elle a 7 ans mais elle est vachement précoce...
On rassemble le matériel : un réglet, un feutre, une règle en aluminium, un cutter, un plioir et une planche de découpe.
Les plans sont imprimés, c'est Louna qui se charge du tracé et du pliage, je m'occupe de la découpe et du collage.
Les images suivantes le prouvent, on a toujours besoin d'un plus petit que soit.
(Louna a mesuré et tracé toutes les lignes de pliage et de découpe)
(découpe du silencieux, étant donné le hurlement du moteur, on se demande ce que ça serait sans cette découpe)
(Non Louna, tu ne peux pas te servir du cutter)
(découpe de toutes les pièces que Louna a tracées)
(Regardez comme elle s'applique pour plier le renfort du nez)
(je n'ai plus qu'à découper le superflu)
(collage du renfort intérieur avec de la néoprène jaune... à éviter, c'est moche comme tout !)
(mise en place des servos 9g GWS naro hp+bb)
(encollage du bord de fuite, avec de la néoprène transparente, avant le pliage)
(pliage et mise sous presse, on s'arrête là pour aujourd'hui.)
(au petit matin, on se rend compte qu'une légère assymétrie est apparue au moment du serrage, tant pis !)
(collage de la pièce centrale qui servira de trappe d'accès ensuite)
(mise en place des dérives)
(il ne lui manque plus qu'un moteur. Elle a une allure d'enfer !)

(TADAAAAA ! un permax 400 en 6V et un hélice 4.75x5.25, ça va hurler !)
(On ne se lasse pas de la regarder)

Il est maintenant 14H34 et je rentre quelque peu dépité : dans un duel polypropylène/pelouse, le sol du stade est sorti vainqueur. Je laisserai à Fred le soin de vous exposer les circonstances du crash car je n'ai pas créé ce blog pour pourrir les copains qui pilotent comme des manches (même si vraiment il y a des fois où...). Toujours est-il, après un contact à pleine vitesse (si, si, Fred, tu étais à fond en piqué, j'ai la bande son.) avec le sol, l'aile est un peu, comment dire, fripée, froissée ou peut-être pliée.
(ne pleure pas Louna, on va la réparer)
Une déchirure est apparue sur le bord d'attaque juste après le renfort du nez ainsi qu'une série de plis un peu partout. Dans l'ensemble, l'aile a conservé sa forme ce qui me fait dire que ce modèle est plutôt costaud (fallait voir la vitesse à laquelle elle est rentrée dans le sol !). Par contre, l'accu Lipo était aux premières loges et n'a pas vraiment apprécié : des plis et une vilaine boursouflure lorsqu'il est chaud. Il va bien finir par me péter à la tronche !

Je jette un oeil au matériel nécessaire pour en monter une et je compare à la liste de ce que je possède. Bonne nouvelle, si je démonte la Toro et la Zaile 92, il ne me manque qu'un récepteur et un pack d'accu LIPO... Bon, on verra à Noël.
Noël arrive et, après moultes négociations avec ma chère et tendre (qui connait très bien le Père Noël), je trouve dans mes petits souliers les bricoles qui me manquent.
Le début de la fabrication coïncide avec une leçon de mathématiques que ma petite dernière doit réviser : tracer des segments avec une règle !
- "Viens me voir, ma petite Louna, on va faire de la géométrie appliquée !"
- "C'est quoi ?"
- "Et bien tu vas m'aider à fabriquer un avion..."
- "Ouais, trop bien !"
- "... et en même temps tu vas réviser ta leçon de mathématiques !"
- "..."
- "Quoi, ça ne te fais pas plaisir de bricoler avec Papa ?"
- "Ca ne serait pas un moyen détourné de fabriquer encore une aile volante tout en faisant croire à Maman que c'est un exercice à vocation pédagogique ? La démarche me paraît un peu grossière et j'ai peur que Maman s'en rende compte. Cependant, il se trouve que je n'ai rien à faire cette après-midi et que je t'aime bien alors, si tu veux, je vais plaider ta cause en ayant l'air enthousiaste tout en bricolant."
Elle a 7 ans mais elle est vachement précoce...
On rassemble le matériel : un réglet, un feutre, une règle en aluminium, un cutter, un plioir et une planche de découpe.
Les plans sont imprimés, c'est Louna qui se charge du tracé et du pliage, je m'occupe de la découpe et du collage.
Les images suivantes le prouvent, on a toujours besoin d'un plus petit que soit.
(TADAAAAA ! un permax 400 en 6V et un hélice 4.75x5.25, ça va hurler !)
Voilà, elle est opérationnelle ! Nous sommes très fier du travail que nous avons accompli et, par acquis de conscience, je décide d'immortaliser l'instant avant d'aller l'essayer avec Fred au stade, il est 13H55.
A la décharge de Fred, le débattement en profondeur était un peu faible. C'est maintenant un problème réglé et l'aile est un vrai plaisir à piloter même si elle fait grimper l'adrénaline à cause de sa vitesse et de sa réactivité.
Les trajectoires sont tendues et le hurlement du permax 400 est un vrai régal ! Le taux de vrille est impressionnant, par contre je suis un peu déçu par la trop grande amplitude du looping et par le vol dos qui la fait ressembler à un funambule sur un fil avec des rafales de vent.
A noter que c'est définitivement une aile de vitesse et que, pour l'instant, je ne changerai pas le moteur pour un brushless : sur le site, elle est décrite comme étant un "spaceship" et je préfère la garder en visuel et voler sous les nuages !
Les estimations des concepteurs de la Mugi concernant le temps de vol sont en-dessous de la vérité et c'est tout à leur honneur. Elle évolue pendant plus d'une demi-heure à un rythme soutenu et je suis allé jusqu'à 40 min lors des prises de vues pour la vidéo ci-dessous.
Les trajectoires sont tendues et le hurlement du permax 400 est un vrai régal ! Le taux de vrille est impressionnant, par contre je suis un peu déçu par la trop grande amplitude du looping et par le vol dos qui la fait ressembler à un funambule sur un fil avec des rafales de vent.
A noter que c'est définitivement une aile de vitesse et que, pour l'instant, je ne changerai pas le moteur pour un brushless : sur le site, elle est décrite comme étant un "spaceship" et je préfère la garder en visuel et voler sous les nuages !
Les estimations des concepteurs de la Mugi concernant le temps de vol sont en-dessous de la vérité et c'est tout à leur honneur. Elle évolue pendant plus d'une demi-heure à un rythme soutenu et je suis allé jusqu'à 40 min lors des prises de vues pour la vidéo ci-dessous.
Ce qu'il faut en retenir :
- C'est un modèle peu coûteux (si on trouve des plaques de PPA sur un chantier ;-)) et robuste (pas vrai, Fred ?)
- Un gros pack d'accu sert au centrage de l'aile, le mien pèse 160 grammes et j'ai rajouté 10 grammes de plomb à l'avant.
- L'accu dans le nez n'est pas protégé d'un choc frontal, pour l'instant, je n'ai pas de solution... à part ne pas s'écraser sur le nez !
- Prévoyez des débattements assez grands quitte à n'en utiliser qu'une plage, il vaut mieux en avoir plus que pas assez pour pouvoir faire des réglages ensuite.
- Si vous passez les commandes à un pote, dites-lui d'abord de ne pas voler en piqué à plein gaz ;-D
- C'est un modèle peu coûteux (si on trouve des plaques de PPA sur un chantier ;-)) et robuste (pas vrai, Fred ?)
- Un gros pack d'accu sert au centrage de l'aile, le mien pèse 160 grammes et j'ai rajouté 10 grammes de plomb à l'avant.
- L'accu dans le nez n'est pas protégé d'un choc frontal, pour l'instant, je n'ai pas de solution... à part ne pas s'écraser sur le nez !
- Prévoyez des débattements assez grands quitte à n'en utiliser qu'une plage, il vaut mieux en avoir plus que pas assez pour pouvoir faire des réglages ensuite.
- Si vous passez les commandes à un pote, dites-lui d'abord de ne pas voler en piqué à plein gaz ;-D